Le 14 mai dernier, aux alentours de 17h42, un vol commercial reliant Barcelone à Lyon a disparu momentanément… non pas des radars, mais des yeux de dizaines de témoins oculaires. Ce n’est pas une histoire tirée d’un film de science-fiction, mais un événement bien réel – et toujours inexpliqué.
Un ciel ordinaire… jusqu’à l’impossible
Ce jour-là, le ciel au-dessus des Pyrénées était clair, parsemé de quelques nuages blancs. Plusieurs passionnés d’aéronautique, armés de jumelles et d’appareils photo, se trouvaient à proximité d’un point d’observation très fréquenté, près du Pic du Midi. Soudain, l’un d’eux aperçoit un étrange cercle noir flottant à haute altitude. D’un diamètre estimé à une cinquantaine de mètres, l’objet semble parfaitement circulaire, immobile, sans aucun contour flou.

Et puis, un avion — un Airbus A320 — s’en approche, visiblement sur une trajectoire normale. Mais au moment même où il entre dans la zone du cercle… il disparaît.
Pas de bruit. Pas d’explosion. Juste… rien. L’appareil n’est plus visible à l’œil nu pendant environ 15 secondes. Puis, aussi soudainement qu’il avait disparu, il réapparaît, comme si de rien n’était, poursuivant sa trajectoire vers Lyon.
La stupeur et les théories
Les témoins sont sous le choc. Certains pensent immédiatement à une illusion d’optique, d’autres à un phénomène météorologique rare. Un photographe amateur, Marc Delmas, 38 ans, a réussi à capturer trois clichés en rafale juste avant la disparition. « Je croyais que mon appareil avait buggé. Mais en zoomant, on voit clairement le cercle, puis plus rien. C’est comme si l’avion avait été avalé. »
Rapidement, les images font le tour des réseaux sociaux. Les commentaires s’enflamment : « trou noir », « technologie extraterrestre », « portail dimensionnel ». Les plus rationnels parlent de reflet atmosphérique, ou de nuage lenticulaire jouant avec la lumière.
L’explication officielle… ou pas ?
La compagnie aérienne AirNova, opératrice du vol, a immédiatement publié un communiqué :
« Le vol AN2475 a effectué un trajet régulier sans aucun incident technique ou météo particulier. Toute autre interprétation relève du domaine de la spéculation. »
Le contrôle aérien de Toulouse confirme également que l’avion n’a pas quitté les radars ni modifié son altitude ou sa vitesse à aucun moment.
Mais alors, que s’est-il vraiment passé ?
Experts divisés
Nous avons contacté plusieurs spécialistes pour tenter d’élucider le mystère.
Dr. Noémie Laval, physicienne atmosphérique :
« Un cercle noir dans le ciel peut être causé par la combustion industrielle, notamment lors de spectacles pyrotechniques ou d’explosions contrôlées. Mais à cette altitude, sans aucun événement déclaré, cela reste très inhabituel. »
Jean-Marc Urtis, ufologue :
« Ce genre de phénomène correspond exactement à ce que nous appelons un vortex transitoire. Des dizaines d’observations similaires ont été signalées dans le monde entier. La coïncidence avec la trajectoire d’un avion est rare, mais pas impossible. »
Un silence qui en dit long ?
Depuis l’événement, le cercle noir n’a plus été aperçu. Les autorités locales ont refusé d’ouvrir une enquête, arguant du manque de preuves tangibles. Les images de Marc Delmas ont été analysées par plusieurs laboratoires indépendants, qui n’ont trouvé aucune trace de retouche ou de manipulation.
Pourtant, plusieurs témoins affirment que, depuis ce jour, ils ont vu « des lueurs étranges » dans le ciel nocturne. D’autres affirment même avoir entendu un bourdonnement métallique les nuits suivantes.
Phénomène isolé ou avertissement ?
Était-ce une simple illusion d’optique ? Un effet atmosphérique rare ? Ou l’ouverture temporaire d’un passage vers une autre dimension ? Les avis divergent, mais une chose est certaine : ce jour-là, le ciel au-dessus des Pyrénées a cessé d’être banal.
Et si ce n’était que le début ?