Sensationnel : Un avion perd le contrôle à l’atterrissage — panique à bord, cris, et un miracle inattendu

C’était censé être un vol ordinaire. Un simple Paris–Nice, opéré par la compagnie régionale AirAzur, avec à son bord 96 passagers et 4 membres d’équipage. Mais ce vol AZ432 allait entrer dans l’histoire comme l’un des incidents les plus glaçants jamais enregistrés sur une piste française — et un témoignage bouleversant de courage, de sang-froid… et de destin.

Un vol tranquille… jusqu’à la descente
Le départ de l’aéroport d’Orly avait eu lieu à 13h02, sous un ciel légèrement voilé. À bord, tout se déroulait normalement. Des couples, des familles, des hommes d’affaires — rien ne laissait présager le drame.

Mais à 14h12, alors que l’appareil entamait sa descente vers l’aéroport de Nice-Côte d’Azur, quelque chose a basculé.

Témoignage de Clara B., 28 ans, assise au rang 14A :

« Tout allait bien. Puis j’ai entendu un bruit sourd, comme un craquement métallique… Ensuite, l’avion a commencé à vibrer violemment. »

Le commandant de bord a alors annoncé une défaillance des volets de l’aile gauche, empêchant l’appareil de stabiliser sa vitesse et son angle de descente.

La panique s’installe à bord
À partir de ce moment, tout s’est accéléré. L’avion s’inclinait par intermittence, donnant aux passagers l’impression d’être sur un bateau en pleine tempête. Plusieurs se sont mis à crier, certains à prier à haute voix. Des enfants pleuraient, des adultes tentaient de rassurer leurs proches à travers des messages écrits à la hâte.

« On entendait des sanglots partout, et surtout… ce silence terrifiant entre deux secousses », raconte un autre passager.

Les hôtesses de l’air, visiblement choquées mais professionnelles jusqu’au bout, circulaient entre les rangées en hurlant les consignes de sécurité. Une d’elles aurait même retenu une femme de se lever et courir vers la cabine de pilotage, prise de panique.

Atterrissage d’urgence ou crash évité ?
À 14h19, le contrôle aérien de Nice reçoit un appel d’urgence : l’avion ne parvient pas à déployer correctement son train d’atterrissage. Il reste 6 minutes pour tenter un redémarrage hydraulique manuel. Le commandant tente l’opération une fois… sans succès. Deuxième tentative… toujours rien.

Et puis, à 1 500 mètres d’altitude, un bruit sec retentit. Le train s’est enfin déployé — partiellement.

Le cockpit décide alors d’entamer un atterrissage d’urgence sur la piste secondaire, plus courte, mais plus dégagée, pendant qu’une vingtaine de véhicules d’urgence se positionnent aux abords.

Le miracle de la piste 04L
L’atterrissage fut brutal. Une roue explosa à l’impact, provoquant une embardée latérale. L’aile gauche toucha brièvement le sol, projetant des étincelles à proximité des réacteurs. Mais contre toute attente, l’appareil ne s’est pas retourné. Il a glissé, freiné, et s’est immobilisé à seulement 19 mètres des barrières de sécurité.

Personne n’a trouvé la mort. Une hôtesse souffre d’une fracture au bras, et trois passagers ont été traités pour des blessures mineures.

Mais tous s’accordent : ils ont frôlé la mort.

Un équipage salué en héros
Le commandant, Alain Girard, 54 ans, pilote depuis plus de 30 ans, a été ovationné à sa sortie de l’appareil. Les passagers l’ont littéralement enlacé.

« Sans lui, on n’en parlerait plus. C’était un mur devant le chaos », dit un témoin.

Les pompiers de l’aéroport parlent d’un “miracle technique et humain”.

Enquête en cours, mais émotion intacte
Une enquête du Bureau d’Enquêtes et d’Analyses pour la sécurité de l’aviation civile (BEA) est en cours pour comprendre l’origine de la défaillance. Mais une chose est certaine : les passagers du vol AZ432 ne verront plus jamais un avion de la même manière.

Et peut-être… plus jamais la vie de la même manière non plus.

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