La nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre sur la côte est de la mer Noire. Ce qui n’était d’abord qu’une rumeur transmise à voix basse sur les quais de pêche s’est rapidement transformé en alerte officielle.
Plusieurs pêcheurs indépendants opérant dans la région de Varna, en Bulgarie, affirment avoir aperçu — et dans un cas, brièvement capturé — une créature marine qu’aucun d’eux ne parvient à identifier.
« Ce n’était ni un poisson, ni un mammifère. Ça n’avait rien d’humain, mais ce regard… », confie Miro, un marin avec plus de 40 ans d’expérience.
🐙 UNE CRÉATURE QUI DÉFIE TOUTES LES CLASSIFICATIONS
L’animal aurait été pris dans un filet de fond à environ 80 mètres de profondeur, au large d’une zone traditionnellement riche en maquereaux.
Selon les témoignages, la créature mesurait entre 1,80 mètre et 2 mètres, possédait une peau visqueuse noir-bleutée, des membres articulés et des orifices respiratoires situés non pas sur les côtés, mais à l’arrière du crâne.
Un des pêcheurs affirme avoir vu l’être se tordre violemment dès qu’il a été hissé à bord, émettant un cri strident semblable à celui d’un sonar inversé, avant de se libérer et de disparaître dans les profondeurs.
😨 UNE PANIQUE CROISSANTE SUR LES QUAIS
Depuis l’incident, plusieurs pêcheurs refusent de prendre la mer sans bénédiction de l’Église. D’autres parlent de «malédiction des abysses», ou d’un ancien mythe marin revenu à la surface.
Les ports de Constanța et Trabzon rapportent une baisse significative de l’activité de pêche, certains marins préférant rester à terre jusqu’à nouvel ordre.
« C’est comme si quelque chose était sorti des profondeurs… pour nous observer », raconte une habitante de Burgas, bouleversée.
🧪 DES SCIENTIFIQUES DÉROUTÉS
Des chercheurs de l’Institut Océanographique de Sofia ont été dépêchés sur place avec un sous-marin téléguidé.
Selon les premières analyses d’images capturées par drones sous-marins, des traces thermiques inhabituelles ont été repérées à environ 90 mètres de profondeur — là où aucune espèce connue ne devrait produire de chaleur.
« Nous n’excluons rien. Cela pourrait être une mutation, une espèce inconnue, ou… quelque chose d’encore plus inhabituel », a déclaré le biologiste marin Dr. Elena Vasilev.
🌊 ET SI NOUS N’ÉTIONS PAS SEULS ?
Ce n’est pas la première fois que la mer Noire suscite la fascination. Mais jamais jusqu’ici un témoignage aussi concret et documenté n’avait été rapporté.
Certains avancent l’hypothèse d’une espèce préhistorique échappant à l’extinction grâce aux conditions uniques du bassin profond. D’autres murmurent des théories plus sombres : expériences secrètes, formes de vie venues d’ailleurs, voire vestiges d’une civilisation inconnue.
Quoi qu’il en soit, le mystère reste entier.
Et l’angoisse, elle, ne cesse de monter à la surface.