Dans un petit village du sud de la France, une scène digne d’un film s’est déroulée lors d’une cérémonie funéraire apparemment ordinaire. La famille et les proches s’étaient rassemblés pour dire adieu à Jeanne, une femme de 78 ans déclarée morte à la suite d’un arrêt cardiaque survenu chez elle deux jours plus tôt.

Tout semblait suivre son cours : fleurs, discours, silence ému. Mais alors que le cercueil était sur le point d’être descendu en terre, le chien de la défunte — un border collie nommé Tango — a commencé à s’agiter. Il s’est mis à aboyer furieusement, tirant sur sa laisse, puis, dans un mouvement inattendu, a bondi sur le cercueil.

Au début, les gens pensaient qu’il était simplement bouleversé par la perte de sa maîtresse. Mais ce qui s’est passé ensuite a glacé le sang de toute l’assistance.

Un bruit. Léger. Un coup. Puis un autre.
Quelqu’un — ou quelque chose — frappait de l’intérieur du cercueil.

Pris de panique mais espérant l’impossible, les employés des pompes funèbres ont rouvert le couvercle. À l’intérieur, Jeanne respirait… faiblement, mais elle respirait. Elle venait de sortir d’un état de mort apparente — un phénomène médical rare, mais documenté, où les signes vitaux deviennent indétectables malgré une activité cérébrale encore présente.

Transportée d’urgence à l’hôpital, Jeanne a été stabilisée et, contre toute attente, a survécu. Aujourd’hui, elle est en convalescence et ne se sépare plus de Tango, qu’elle appelle désormais « son ange gardien à quatre pattes ».

« Sans lui, je serais enterrée vivante. C’est grâce à lui que je suis encore là », confie-t-elle, la voix tremblante.