UNE REQUIN ATTAQUE UNE CAGE DE PLONGÉE — L’acier se déforme pendant que les touristes à l’intérieur hurlent de terreur !

Ce qui devait être une plongée inoubliable pour admirer les requins blancs dans leur habitat naturel s’est transformé en un cauchemar d’acier et d’instinct animal.

C’était au large des côtes de Gansbaai, en Afrique du Sud — surnommée « la capitale mondiale du grand requin blanc ». Un groupe de 8 touristes internationaux, encadrés par deux moniteurs professionnels, avait embarqué ce matin-là pour une excursion très populaire : plonger dans une cage sécurisée afin d’observer les requins à quelques centimètres de distance.

Après 45 minutes en mer, la cage en acier inoxydable a été installée à l’arrière du bateau. Un appât — mélange de thon broyé et de sang, appelé « chum » — a été déversé dans l’eau pour attirer les squales. Une pratique encadrée, mais controversée. Le ciel était dégagé, la mer calme, l’excitation palpable.

À 10h24, le premier grand requin blanc apparaît.

Il mesure environ 4,5 mètres. Majestueux, il tourne lentement autour de la cage. Les touristes dans l’eau s’agrippent aux barreaux, les yeux grands ouverts, émerveillés. Les caméras GoPro enregistrent tout. On entend des rires, des exclamations.

Mais soudain… quelque chose change.

Le requin revient plus vite. Il tourne à une vitesse inhabituelle, s’approche très près de la cage. Puis, il frappe.

De plein fouet.

Un bruit sourd résonne sous l’eau. L’acier gémit. La cage vibre. Les touristes, paniqués, reculent au fond de la structure. Le requin se cogne une deuxième fois, cette fois en ouvrant largement la gueule. Ses dents s’accrochent à un angle de la cage, qu’il secoue comme un jouet.

Les guides crient de remonter la cage. Mais un des câbles bloque. En bas, les cris étouffés des plongeurs remplissent leurs masques. L’un d’eux perd son embout respiratoire dans la panique.

Le requin, désormais enragé ou désorienté, revient une troisième fois. Cette fois, il parvient à plier une des tiges de renfort, laissant une ouverture de 20 centimètres. Une touriste tente de se coller à l’angle opposé. Son regard est figé. Le requin passe sa tête à moitié à l’intérieur.

Il faut 12 secondes pour que l’équipage réussisse enfin à actionner le mécanisme de levage.

La cage remonte lentement. Trop lentement.

Mais alors que la moitié supérieure de la cage sort de l’eau, le requin lâche enfin prise et disparaît dans les profondeurs.

Quand la cage est entièrement hissée à bord, le silence est total. Certains touristes pleurent. D’autres tremblent, incapables de parler. La touriste au bord de l’ouverture a une entaille au bras — provoquée non pas par le requin, mais par une barre d’acier tordue.

Un drame a été évité de justesse.

Plus tard, les experts diront que l’animal a sans doute été désorienté par l’odeur du sang ou rendu agressif par les vibrations métalliques. Une enquête est ouverte. L’excursion est suspendue indéfiniment. Et la vidéo enregistrée sur les caméras devient virale en quelques heures.

Mais pour ceux qui étaient là ce jour-là, ce n’est pas un clip spectaculaire.
C’est un souvenir gravé dans la peur la plus profonde.

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