« Moins de maillot, plus de cicatrices : le moment où une fête sur un yacht tourne au cauchemar ! »

Ce devait être une journée de rêve. Soleil éclatant, mer turquoise, musique entraînante et champagne à volonté. Tout semblait parfait lorsque le groupe d’amis a embarqué sur le yacht de location au large de la Côte d’Azur. Personne n’imaginait que cette sortie en mer allait laisser des cicatrices – visibles et invisibles – à plus d’un.

Parmi eux, il y avait Élisa, 26 ans, influenceuse lifestyle suivie par plus de 300 000 personnes sur Instagram. Vêtue d’un maillot une pièce couleur corail, lunettes oversize sur le nez, elle filmait chaque instant : les rires, les danses sur le pont, les plongeons gracieux dans l’eau. Elle voulait capturer la perfection.

Mais cette perfection n’a duré que quelques heures.

Vers 16h, après plusieurs verres et une ambiance de plus en plus débridée, le capitaine – un jeune skipper local engagé pour la journée – a proposé une idée que tout le monde allait regretter : accrocher une grande bouée gonflable à l’arrière du bateau et remorquer les volontaires à pleine vitesse.

Excités par l’adrénaline, plusieurs membres du groupe se sont portés volontaires. Élisa, toujours partante pour un contenu sensationnel, a été la première à grimper sur la bouée avec deux amis. Tout le monde riait, filmait, criait de joie. Le yacht a accéléré.

Mais à 25 nœuds, la mer devient brutale.

Une vague plus haute que les autres a projeté la bouée en l’air. Élisa a été catapultée hors de l’eau, heurtant violemment la coque arrière du bateau. Son maillot de bain a été arraché sous le choc, et une longue entaille sanglante est apparue sur son flanc, provoquée par un morceau métallique mal fixé sur le bateau.

Les cris ont remplacé les rires. Le skipper a immédiatement stoppé le moteur. Une amie a sauté pour la secourir. Élisa, en état de choc, perdait du sang pendant qu’on appelait les secours par radio.

Le reste de la journée a été flou. Transport par hélicoptère vers l’hôpital de Nice, opération en urgence, et des semaines de soins pour refermer la plaie. Mais ce qui ne s’est jamais vraiment refermé, c’est la confiance qu’elle avait en l’image qu’elle renvoyait au monde.

« J’ai toujours voulu montrer une vie parfaite. Et je me suis retrouvée nue, vulnérable, marquée. Littéralement », confiera-t-elle plus tard dans une vidéo sincère.

Aujourd’hui, Élisa montre ses cicatrices à l’écran. Pas par recherche de pitié, mais pour rappeler que derrière chaque image idyllique peut se cacher une réalité brutale.

Et surtout : qu’une seconde d’inconscience en mer peut coûter bien plus qu’un simple maillot de bain.

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