« Hollywood sous le choc : Comment Alec et Stephen Baldwin ont fini dans un terrible accident de voiture – Des témoins racontent tout »

Le bruit s’est abattu sur les arbres comme si le temps s’était arrêté. Je l’ai vu depuis la fenêtre du café : un Range Rover argenté déraper, un bruit sourd de métal, et, instantanément, tout alentour est devenu silencieux. Des gens sous le choc, des cris, des phares, de la fumée s’échappant des pneus… et au centre de tout cela, les silhouettes des deux frères Baldwin, renversés mais vivants.

En m’approchant, j’ai entendu une femme murmurer : « Il crie… Stephen bouge-t-il ? »

Une autre femme a répondu d’une voix tremblante : « Oui, il respire… mais la voiture… c’est un cauchemar. »

L’odeur de brûlé, le crissement du métal, le reflet des débris sous le soleil ardent d’octobre – tout ressemblait à un cauchemar. Les projecteurs, les gyrophares des ambulances et des voitures de police se mêlaient dans une danse chaotique. J’ai vu Alec lever la main, comme pour prouver qu’il était toujours là, qu’il respirait encore.

Au début, j’ai cru à un terrible accident, un obstacle surgi de nulle part, un accident imprévu. Mais la rumeur a commencé à circuler : un camion-poubelle, soi-disant énorme, tel un monstre, bloquait la route. Le conducteur d’un Range Rover aurait fait une embardée pour éviter une collision et aurait percuté un arbre.

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Et puis, au moment le plus sombre, un mauvais virage : quelqu’un a prétendu que personne n’avait été blessé. Que c’était un accident bizarre, mais rien de plus. J’ai entendu un témoin dire : « Ils sont sortis et sont restés plantés là, tremblants… personne n’a été blessé.»

Mais peut-on simplement passer à côté ? Est-il vrai qu’Hollywood ne pose aucune question ? Tout le monde croira-t-il qu’au cœur de ce chaos se trouve juste un « camion-poubelle dans un virage » ?

« Alec ?» « Je vais bien… »

La voix s’est éteinte, rauque, comme si sa voix s’était figée au milieu d’une phrase. À cet instant, j’avais l’impression de retenir mon souffle.

Plus tard, la police publierait un communiqué : le coupable était une réaction au mouvement d’une autre personne, à la route mouillée, à la boue touchant les pneus.

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Et même les images de la caméra embarquée du camion-poubelle, disent-ils, montreront le moment où la voiture surgit de derrière et s’écrase d’abord contre une boîte aux lettres, puis contre un arbre.

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Mais je ne crois pas que ce soit aussi simple. J’ai vu leurs visages : la peur dans leurs yeux, la question « pourquoi ?» Pourquoi de telles personnes, de tels destins, se sont-ils retrouvés à l’épicentre de ce moment tragique ? Pourquoi Hollywood est-il une fois de plus au bord du choc ?

Je reviens à cette scène : le métal, la lumière, les ombres, les cris, l’instant précédant l’impact – et je constate qu’il ne s’agit pas simplement d’une répétition du début : à la fin, c’est le même silence, mais il n’est plus vide. J’entends un murmure : « Ils sont toujours là.»

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