😱 Les trains d’atterrissage ne se déploient pas à l’atterrissage ! L’avion frôle la catastrophe sous les yeux des passagers !

Ce qui devait être un vol de routine entre Barcelone et Paris s’est transformé en scène de panique absolue lorsqu’un Airbus A320 de la compagnie AirNova a rencontré une panne critique de son système de train d’atterrissage à l’approche de l’aéroport de Paris-Orly.

Le vol AN237 avait décollé à 14h35, avec 146 passagers à bord, parmi eux des familles, des hommes d’affaires et des touristes. Le vol s’est déroulé sans aucun problème durant près d’une heure et demie — pas de turbulences, personnel souriant, ambiance détendue. Mais à 15h56, alors que l’avion entamait sa descente finale, un message inattendu est parvenu aux passagers par haut-parleur.

« Mesdames et messieurs, ici le commandant de bord. Nous faisons face à une anomalie technique concernant le système de train d’atterrissage. Nous suivons la procédure de sécurité. Veuillez garder votre calme. »

À l’intérieur de la cabine, le silence s’est soudain abattu. Les visages se sont figés, les regards se sont échangés, inquiets. Certains ont cru à une blague. D’autres ont serré la main de leurs proches.

Pendant ce temps, dans le cockpit, les pilotes tentaient manuellement de déployer les trains, mais le signal restait rouge. Aucun contact. Rien ne sortait. L’équipage a alors engagé une procédure d’urgence et demandé un atterrissage sur le ventre, autrement dit : sans roues.

Sur le tarmac d’Orly, les pompiers, ambulances et équipes de sécurité ont été déployés à grande vitesse. La piste d’atterrissage a été entièrement bloquée. Les autorités savaient que le moindre faux mouvement pouvait coûter la vie à des dizaines de personnes.

À 16h21, le pilote entame l’approche finale.

Le ventre de l’appareil frotte contre l’asphalte. Des étincelles jaillissent. Une odeur de caoutchouc brûlé envahit la cabine. Les passagers sont penchés en avant, tête baissée, selon les instructions de sécurité. Certains hurlent, d’autres prient, quelques-uns restent étrangement calmes, comme figés dans le moment.

L’avion glisse sur la piste sur plus de 800 mètres avant de s’immobiliser dans un crissement métallique assourdissant.

Et puis… silence.

Pas d’explosion. Pas d’incendie. Juste la respiration haletante de 146 personnes vivantes.

Quelques secondes plus tard, les toboggans d’évacuation se déclenchent. Les passagers sortent un par un, certains pieds nus, d’autres en larmes, mais tous entiers. Les secours interviennent rapidement. Seules quelques personnes souffrent de blessures légères.

Le commandant de bord, un vétéran de 25 ans de vol, est accueilli comme un héros. Grâce à sa maîtrise et son sang-froid, une tragédie a été évitée.

Les enquêteurs de l’aviation civile ont ouvert une enquête pour déterminer la cause exacte de la défaillance. Mais une chose est sûre : ce vol restera gravé dans la mémoire de tous ceux qui étaient à bord.

« Je pensais que c’était la fin », a déclaré un passager à la presse. « Et puis j’ai senti le sol… et la vie est revenue. »

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